2 Marque quAlexandre Dumas nous présente comme étant une fleur de Lys sur lépaule de Lady Winter ( rendre la Fleur de Lys infamante).
3 Cet hiéroglyphe est une oie sauvage accompagnée dune jambe : est-ce le souvenir de la longue errance qui suivit le Grand Cataclysme (cf. art. Déluge*) ?
Ce parcours, ritualisé dans les trajets initiatiques des Danses* du Labyrinthe, se retrouve dans le Jeu* de lOie dont le supposé calendrier crétois ou Disque de Phaïstos était peut-être le prototype : un livre dhistoire en somme, relatant la destruction de la patrie primitive des Indo-Européens après 8500 AEC, le Maglemose ou la Sibérie maritime, ou et celle de la Crête par lexlosion de Théra.
Màj. 15 mars 03 : En fait, si nous en croyons le letton (des USA) Andis Kaulins de lexcellent site anglophone <lexiline.com>, le disque a été déchiffré par lui et il serait en rapport avec un paradoxe mathématique, celui des lignes parallèles : voulez-vous le lire maintenant ? Alors cliquez sur [disqphai.pdf] ! Vous reviendrez ensuite automatiquement dans notre article pour le terminer
4 Arawyn est, pour les bretons, la terre des défunts, mot quil conviendrait peut-être de rapprocher, au moins phoniquement dHalloween.
5 Artos est aussi en grec le nom du pain avec levain ce qui pourrait indiquer lorigine septentrionale de celui-ci
6 Cavernes : sur le flanc Ouest du Mont Granier (grannos soleil) en Chartreuse/ Savoie, on à retrouvé un cimetière dours (plusieurs milliers), à la Balme à Collomb près dEntremont-le-Vieux : des os de 20.000 ans sont incrustés par strates dans une gangue dargile glacée : les ours auraient hiberné là pendant plus de 20.000 ans. Après dix ans de recherches, le site vient de fermer, mais un Musée va être crée à Entremont-le-Vieux. (lettre celtique Combutis n°33, printemps 2000)
7 Hiérophanie : qui rend visible le sacré
8 Chasses sauvages, souvenir du grand chambardement qui déplaça laxe polaire ?
9 Arcadie : larchaïque Arcadie-Mère, celle du Septième Arc Au Septentrion !
10 Ourse : Dans le ciel, on trouve facilement la Polaire en prolongeant de 5 fois le dernier espace interstellaire (le bord droit de la casserole). Les noms de constellation correspondantes sont : Canis venatici, Aries, Aquila, Arcturus le gardien de l'Ours (a du bouvier). Létoile Arcturus du bouvier qui en grec est arktos, qui veille sur lours a du être une ancienne étoile polaire (Cf. § Précession in art. Astrologie* nordique, et Déluges*).
Màj 3 sept. 04 proposée le 22-8 par fdes1@ : « animal emblématique des grandes forêts du nord de lEurope, mais aussi le symbole de la constellation de la Petite Ourse, dont lune des étoiles Polaris occupe actuellement la position de létoile polaire autour de laquelle tourne tout le firmament. Létoile polaire et sa constellation de lours sont laxe du monde, sa colonne vertébrale, et larbre du monde, Yggdrasill/ Irminsul*, sétend vers elle. A son tour, lours est emblématique de lUltima Thulé, lextrême Thulé septentrionale et la patrie des Hyperboréens* chantés par le poète grec Pindare. » Adrian Salbuchi, Richard Wagner : el Profeta de la Edad de Hierro, 1998.
11 Corbeilles : les cistes contenant les objets du culte.
12 Lutte : cette idée de lutte, de concurrence, de polémique incessante est typiquement biblique (en hébreu pilpoul) et, surtout, antithétique du concept tri fonctionnel ou de la subsidiarité !
13 Artémis : un de mes amis, britannique et facétieux (hérédité sans doute), ne dit jamais Artémis mais Miss Artio sans que ce soit contradictoire avec Miss ou Maid (cf. Vestale*).
14 Coupigny : «Je recherche des éléments sur le culte de Veiovis qui serait selon Ovide (Fastes III) un Jupiter jeune représenté avec la chèvre Amalthée. Salutations distinguées, au plaisir de vous lire. »
15 Ah ces Gaulois, quels voyageurs !
16 Il reste actuellement un demi Aïnou, mais cela némeut guère les Ecco-(non)-Logico qui préfèrent les Gnous ou les Dodos plutôt que de conserver des témoins génétiques du temps de la Grande Dispersion. Ces braves gens devraient lire les très belles et émouvantes pages de Jean Raspail sur la mort du vieux chef Aïnou dans Pêcheur de lune! Mais, pour ce qui est de lémotion, cette image est surpassée par le remarquable film Himalaya, enfance dun chef Tout nest donc pas perdu !
17 Uiracocha : à rapprocher du norois Witr Goth, le goth blanc ou le Dieu blanc
18 Nonnettes frustrées : ou bien le souvenir de quelque fruste frère convert (je vous jure que je ne lai pas fait exprès!) : doù toutes ces histoires dhommes sauvages (cf. Figures, in art. Blasons*).
19 Blaise : on aura reconnu, dans ce saint difforme (campé) et contrefait qui porte un masque* dours, vit dans une caverne, et danse dun pied sur lautre, notre Martin ! Je pense quil est à lorigine du Quasimodo sonneur de cloches dans le Notre-Dame de Victor Hugo ! Lours y figure dailleurs sur le parvis, vedette de la fête populaire, ainsi quà la fête des tire-laine de la Cour des Miracles, au Pont Neuf. Un hypothétique Saint Blaise aurait été décapité en compagnie de deux enfants : comment ne pas penser ici à la colonisation de notre vieux mythème du Vieux Soleil finissant lannée et des Dioscures les Fils divins et, bien sûr, à tous les mythes de céphalophores, Mimir, Tagès, Oli et jusquà Jean le Baptiste qui eut dans lÉglise* grande descendance légendaire pour effacer nos racines païennes !
20 Pan : cf. Pandora que Vulcain/ Héphaïstos forma du limon de la terre. Limon : latin limus, limon, bourbe > limes limite, frontière ; cf. aussi Pandéra la nuit claire ou pleine lune.
21 Coq : à travers son nom anglais et la girouette, on voit que le coq comme terme générique doiseau mâle (= pénis, cf. art. Sexualité*), danseur* et chanteur (le cri pan!), nest pas loin !
22 Argus est aussi le nom des chiens dUlysse et celui de lartisan qui construisit lArgos.
23 Skanda : on retrouve ici la racine consonantique SKD, comme dans Euskadi (Basque) et Skanden (Scandinavie)
24 Rire à contretemps que Salomon Reinach aurait sans doute nommé le rire rituel !
25 Picenum : nommé Marche, après larrivée des Francs ( Marks > Mars).
26 Nourrissait : la mythologie nous dit aussi que cétait le Ficus ruminalis, ou la Louve du Capitole que nous la considérerons plutôt comme une druidesse initiatrice* appartenant à lOrdre du Loup
27 Chinois : le parti pris européen qui a cerné nos études de mythologie comparée se justifie par le fait que lArbre de Mai ne se trouve quen Europe ! Cela ne nous empêche cependant pas de signaler les parentés mythologiques du domaine eurasiatique où la grande errance sétait propagée
28 Piérides : Leur nom est probablement à rapprocher de Pira, le poirier mythique découvert par les premiers explorateur de la grande île du Grand Marais (cf. art. Atlantide*)
Aaron ben Chaïm, rabbin de Fez au XVIème siècle, évoque ces Péritos qui ont la tête et les pattes du cerf et le reste du corps dun oiseau dans son Bestiaire Fantastique dont les sources brûlèrent en 640 lors de lincendie de la Grande Bibliothèque dAlexandrie par Omar. Ce Bestiaire, conservé à la bibliothèque de luniversité de Munich, fut malheureusement perdu à la fin de la guerre (Ronecker). On aura reconnu là un prêtre du culte de Cernunnos* Ailé (cf. art. Elfes* et Grue #3).
29 Jacasser : penser au latin jocus badinage, ébat. Rakassa, la fée néfaste, est devenue une sorcière* (post ) chez les Nordiques
30 Agaçant ageasson : vous connaissez sans doute ce chant folklorique vendéen La Pibole : Au printemps, la mère ageasse (bis), Mit au monde un ageasson, la Pïbole , Mit au monde un ageasson, Pibolon !
31 « Minos, roi de Crête était, daprès Apollodore, dorigine occidentale, fils dEurope et de Jupiter. Europe était elle-même fille dAgénor roi de Phénicie (Phéressie/ Frise)n et de Téléphassa. Agénor avait pour père Poséidon et pour mère Lubié. On sait que Poséidon était le dieu de lOcéan qui était son empire. Minos, premier roi de Crête, est donc larrière petit-fils de Poséidon. » M. Moreau.
32 Affres : la Gorgone est lindicible, cest-à-dire celle quon ne peut ni voir, ni sentir, ni même penser : la Mort en un mot !
33 Ce bélier de mer/ Narval à laissé de nombreuses traces dans nos mythologies et nos folklores marins. Nous avons aussi traité ces aspects dans les art. Licorne* et Naglfar*.
34 Peau de phoque : qui saura recoudre ensemble ces éléments dun vieux rite : nébride en peau de faon, toison dor, ceinture en peau de phoque et Ordre de la Jarretière : le dieu Tyr, peut-être ?
En restant plus béotien, on pourra remarquer quune ceinture de force souple et chaude protège le dos de ces tours de rein et des coups de froid générateurs de coliques. Quant au reste, cest certainement une adjonction post évangélique où se mêlent diverses confusions sémantiques
35 Loups soraniens : Mannhart compare ces rites* aux cérémonies quaccomplissait la Confraternité des Loups Verts de Jumièges, en Normandie (Frazer).
36 Brichemer : du germ. brechen rompre, briser, casser, Brichemard, Breche-mahrt > raz de marée ?
37 Accouchements : qui surviennent généralement la nuit !
38 Borée : ces chasseurs qui commençaient à cultiver les alentours de leurs németons fraîchement essartés et labourés par le groin/ charrue des sangliers, allaient devenir des boers en Pays Bas (et, par suite, en Afrique du Sud) et des Bauern en Germanie de lintérieur
39 Var ou Vri en sanscrit, couvrir, protéger, cacher. Dans les mots Varuna et Ouranos cette racine var désigne le Ciel qui est caché aux sens et qui couvre la Terre (cf. la cosmogonie grecque). Elle se retrouve dans Vara, choix, varna corporation (devenu caste chez nous) et, en germanique dans Vala élu et Wahlhalla la Halle des Bienheureux. Vârâhi désigne la terre sacrée polaire, la Terre du Sanglier, le centre spirituel primordial des Indo-Européens* avant le Grand Cataclysme (cf. art. Déluge* et Origine* Polaire). Signalons aussi, comme antithèse cette vérité*, war en allemand et Vra la déesse nordique, qui doit souvent rester cachée au plus grand nombre, être occultée en attendant linitiation* graduelle.
40 Gullinbursti soies dor : ce mythe présente des ressemblances avec le miracle de Guingamor, la Chasse au Blanc Porc, ce qui nétonnera certes pas un comparatiste
41 Mar-svin : cf. la racine sua/ sva (cf. étymo in art. Svastika*). Lhabitat du sanglier est une bauge, racine quon retrouve dans son nom anglais boar, mais lorsquil est domestiqué, on dit en Dauphiné une soue à cochon, assez souillée en général, et le coin de la pierre à lévier, dont les eaux se vidaient dans la soue, était la
souillarde, lieu ou officiait habituellement la
souillon, cqfd.
Concernant le sanglier de mer, il est probablement avec la baleine Val/ Céta lorigine mythique de cette nourriture inépuisable et divine, voir larticle Narval*.
42 Sva-rojitch sanglier rouge ou bon rouge (ou fauve). Rethra borde la rive gauche de la Saale (cf. art. Salassa/ Thalassa*) sur le Lac Thétys/ Cétus c.à d. la Baltique, à la frontière de la Saxe et de de nos cousins Indo-Européens* de langue slave.
43 Slaves quon appelle aussi Goths de lEst, le terme slaves les caractérisant par cette langue syncrétique qui fut rectifiée par les moines Cyrille et Méthode. Oserions-nous voir un Apollon épiphanien dans ce cheval passant entre les colonnes dHercule/ Atlas, Hypsipylon ? Oui, sans hésiter !
44 Truie Blanche : cf. Twrth Trwith in art. Celtes*.
45 Twrch Trwych est un nom pour un fils de roi : Triaath en Irlande. Tourch en breton dArmorique signifient pourceau mâle. Noms parents : langlais trust fidélité, et truth vérité. Le prénom Tristan signifie donc le plus fidèle (Drv. Bojorix) !
46 Lug, Lok, Lucifer, Mercure, Lancelot serait, selon certains, id. à la triple Brigit.
47 Urbaine et chrétienne. La proximité rédactionnelle de ces deux mots nous fait penser à la bénédiction papale urbi et orbi : urbis ville, cercle de la terre, et orbis orbe, cercle du Ciel. Ces cercles bien proches du brittonique kirk, église en rond, Cromlech (cf. Stonehenge in art. Astrnomie*)
48 Lautorité spirituelle : il y a probablement là un certain anachronisme à parler ainsi, habitués que nous sommes à lautorité de lÉglise* ! Mais, ce texte date de 1936 et nous avons bénéficié depuis des remarquables travaux de Dumézil concernant la Trifonctionnalité (cf.) : il sagit donc là de la première Fonction* et nous savons que les druides étaient passés auparavant par la seconde !
Aux Indes, la révolte des Kshatryas a pu se justifier par la dégénérescence des Brahmanes qui ne pratiquaient plus quun ritualisme pointilleux (cf. casta in art. Magie) sans plus comprendre lEsprit de la chose (le sacra id.). On reverra cela en parlant de Rome (art. Rite*) et des Étrusques
49 Var : est Bor dans sa variante nordique doù la Borée (angl. boar, ald Eber Å> les Éburons) : «Hyperborée* fut employée seulement par les Grecs à une époque où ils avaient déjà perdu le sens de cette désignation ; il vaudrait donc mieux qualifier la Tradition Primordiale, non pas dhyperboréen-ne mais simplement de Boréenne, affirmant par là sans équivoque sa connexion avec la Borée ou terre du Sanglier (René Guénon) màj. fdes1@hotmail.fr. La suite de son article sur le Sanglier, in Symboles de la Science sacrée, contient une foule de choses intéressantes
car cétait encore le premier Guénon !
En polonais, Bor (accent sur le o se prononce "bour") signifie : forêt ,les borowski sont les myrtilles
50 Syrie : lactuelle Syrie en est une réplique, fondée par les Phélès/ Phérès, les Héraklites ou Doriens, autour de Tyr dont le nom se prononce Sour comme une souris (cf. Apollon* sminthex)
51 Ce maillet est celui de lexcellent, Sucellus et aussi le mael béniguet des Bretons, celui qui donne la bonne mort au vieux Pape : le Pape est mort ! Un nouveau Pape est appelé à régner ! (complainte estudiantine)
52 Ours germain : « En Chine même, le sanglier est lemblème des Miao, représentants dune forme ancienne de la tradition chinoise, et lours celui des Hia, membres de la classe guerrière ; le Sanglier est capturé ou expulsé par Yi-lArcher. » Michel Guillery, Revue Ordos, N° 3.
On retrouvera comme toujours dans ces légendes, des données astronomiques dégradées
53 Saint Antoine est très vénéré en Dauphiné. Il préservait du tonnerre, comme Thor bien sûr, ainsi que du feu, des chiens enragés et des sorciers* ! Il garantissait les animaux des épizooties. Protecteur des chevaux, des mulets et des ânes (cf. infra) il était patron des bouviers à Saint-Egrève et au Fontanil (aux portes nord de Grenoble). Il était invoqué lors des satires ou rumeurs publiques, et lon jurait ou parjurait : Que le feu de saint Antoine me brûle, cest à dire : que la foudre de Donar/ Thor me brûle si je mens ! Les témoins de ce serment étaient les pleiges. Ces ordalies sont à lorigine des des combats rituels de Justice qui allaienty devenir les duels chez les nobles : au début, ils étaient publics et le sont restés partiellement avec les témoins, ce qui est tout à fait différent des vendettas aveugles et héréditairement obligatoires !
54 « Ces Mickeys sont sans culture
sans parler de Blanche Neige, joli spectacle certes, mais qui occulte totalement le conte de Grimm et bloque le nécessaire décryptage ! » (courrier).
Bien sûr il faut en revenir à Grimm, traduit intelligemment et non adapté ! En effet, la nouvelle Déesse-Mère (la belle-mère) ne veut pas laisser la place au couple Apollon/ Chasseur labyrinthique et Artémis/ Blanche Neige entourée des Sept Sages, Ases, Rikshi, les Sept marcassins de la Truie Blanche. Elle lutte même avec les armes honteuses de la magie* des morts, la pomme empoisonnée, la seidhr de Freyja la vanadise : pauvre pomme de sagesse, ques-tu devenue ? Le conte sappelait-il Blanche-Truie et les sept marcassins, lesquels cachent une initiation astrologique
Mais, nous avons vu un autre décryptage de ce conte, et des plus intéressant, dû à J-P. Ronecker, in art. ABC, en rapport avec la Kala (art Gioïa*).
55 Turko : Remarquons au passage la parenté de Turko, quon retrouve sous la forme Tur-Coi (> Etrusque) sur une monnaie Celtibère Ce qui fait que nos patronymes des Alpes Turc, ont une ascendance gauloise ou toscane !
56 Cent : centum en latin mais hécate en grec, Déesse-Mère* de la Vie dans la Mort, le troisième visage de la déesse triple. Avec Hécatepous les cent pieds cest, sauf erreur, les seuls endroits où apparaît ce mot, ce qui induit une parenté Nérée-Hécate par le biais de la Grande Submersion. Sauf mythème caché, cent signifie beaucoup comme, lorsque enfants, nous disions mille
57 Gui : cf. § in art. Arbres* des Dieux
58 Eo fait évidemment penser à la Rune* Io ou Hag-all tertre suprême, Io qui est aussi languille des marais atlantes. Peut-être penserez-vous alors aux
Oannès ces mythiques poissons civilisateurs de Sumer ? Signalons combien leur nom est proche de ces souverains égyptiens nommés Ouhemnesout ce qui signifie renouvellement de la mise au monde
Intéressant, non ? (Briard Jacques, Les Mégalithes, ésotérisme et réalité, Gisserot, 1997.)
Màj du 5 fév. 04 : « Oannès, le premier des hommes-poissons, fut l'inventeur des lettres, des sciences et des arts, le fondateur des lois, des cités et de toute la civilisation (Sumer). Dans La légende d'Adapa (attestée vers 1500 AEC.), Uanna, hellénisé en Oannès par Bérose et surnommé Adapa ("le Sage"), apparaît sous A-lulim, le premier roi antédiluvien, sous l'aspect d'un homme portant un costume en forme de poisson. Il est le premier des apkallu (= AB.GAL en sumérien), c'est-à-dire des 7 sages envoyés par Ea pour civiliser les hommes. Bérose rapporte ce mythe d'Oannès (~4500-4000 AEC.), héros civilisateur qui serait sorti des eaux du golfe Persique pour donner naissance à la culture sumérienne (écriture, sciences, agriculture, urbanisation). » Patrice Guinard: http://cura.free.fr - Note r.t : Un costume (en peau de phoque? cf. art. Narval*) ou un chapeau ("mitre" ?
Mithra).
Màj du 23 avril 04 : Une autre piste est porposée par Felipe Vinci (in Omere nel Baltico) qui remarque la parenté phonique avec « Ioniens ou Iavana (" Iàones ", Iliade. XIII, 685), cest-à-dire lun des noms des Grecs dans lAntiquité. »
59 Baies : appelées quelques fois noisettes de la connaissance, noisettes rouges du sorbier ou noisettes de lart poétique : le mot baies est un terme générique sappliquant aux fruits des arbustes et des fraisiers.
60 Dévorateur : remarquer le bélier mort dans un arbre (du Monde) : très diluvial, non ? Mais Athéna/ Mesure chouette en main fixe un nouvel Axe ou Clou du Monde par sa lance
61 Commun : .pour les Indo-Européens et quelques-uns de leurs lointains cousins (et même les Hébreux par le biais dune de leurs ascendances, les Celtes* éburons : les Ébros
62 Dragon* : De ce fait, des compléments mythologiques se trouvent dans lart. séparé Dragons*!
63 Cosmophore : aux Indes, cest léléphant et, en Sibérie, cest la Tortue
64 Audumbla ou Audumla la vache sans corne et riche en lait. Étymologie : audr richesse, fille de Nott Nuit et de Naglfari : laube (cf. Adret). Elle est équivalente à la Damona celtique (> Dame, mais aussi Daimon force créatrice en grec) mais aussi, en partie, à Hathor lÉgyptienne .
65 Is : surgir et, compte tenu de son mari Os-iris dé-membré, on pourrait dire resurgir.
66 Qui sait ce que laspect funèbre dHécate doit à ces hécatombes ?
67 On sait que les tambours dAirain (cloches) ont un rapport avec les Danses de la Pluie et que leurs vibrations empêchent aussi la formation du givre destructeur des vergers !
68 Pasiphaé : Celle qui lui pour tous (Lune) lépouse de Minos qui fauta avec le Minotaure
69 multi-ethniques : cest un des inconvénients de ces sociétés : elles gardent des morceaux divers de la lettre (casta) mais en oublient lesprit (casta) !)
70 Thalos (Salos) : cf. Salacia l'épouse de Neptune, dont le peuple étaient les Salasses*, les Saliens. La racine consonantique Tls ou Sls se retrouve dans Thalassa, Tholos et Thulée, ce qui pourrait faire de Thalos une adaptation ethnique dAtlas, brûlé par le feu du volcan (cf. Déluge*).
71 Le mot grec toros signifie tout simplement qui saillit : cela éclaire mieux le mythe de Pasiphaé celle qui rend tout visible, qui éclaire cest à dire Diane, la compagne du baiseur : bien sûr il sagit toujours là de la Hiérogamie* printanière !
72 Ar Om : avant sa disparition dans une avalanche dans lAna Purna Ò