1 Célèbres lames : « Des tests de l'université de New York ont montré que des armes grecques, récupérées dans les ruines de Sparte et vieilles de plus de 2600 ans, étaient en acier d'une très haute qualité dont la limite d'élasticité dépasse de deux fois celles de nos aciers contemporains. » Magazine, Le Monde Inconnu, N° 84, 06/1987, Technologies avancées dans les temps reculés, Michel Granger.
(Document issu de <infomysteres.com/index.html>

2 Marque qu’Alexandre Dumas nous présente comme étant une fleur de Lys sur l’épaule de Lady Winter (…rendre la Fleur de Lys infamante).

3 Cet hiéroglyphe est une oie sauvage accompagnée d’une jambe : est-ce le souvenir de la ”longue errance” qui suivit le Grand Cataclysme (cf. art. Déluge*) ?…
  Ce parcours, ritualisé dans les trajets initiatiques des Danses* du Labyrinthe, se retrouve dans le Jeu* de l’Oie dont le supposé “calendrier” crétois ou Disque de Phaïstos était peut-être le prototype : un livre d’histoire en somme, relatant la destruction de la patrie primitive des Indo-Européens après 8500 AEC, le Maglemose ou la Sibérie maritime, ou – et – celle de la Crête par l’exlosion de Théra.
  Màj. 15 mars 03 : En fait, si nous en croyons le letton (des USA) Andis Kaulins de l’excellent site anglophone <lexiline.com>, le disque a été déchiffré par lui et il serait en rapport avec un paradoxe mathématique, celui des “lignes parallèles : voulez-vous le lire maintenant ? Alors cliquez sur [disqphai.pdf] ! Vous reviendrez ensuite automatiquement dans notre article pour le terminer…

4 Arawyn est, pour les bretons, “la terre des défunts”, mot qu’il conviendrait peut-être de rapprocher, au moins phoniquement – d’Halloween.

5 Artos est aussi en grec le nom du pain – avec levain – ce qui pourrait indiquer l’origine septentrionale de celui-ci…

6 Cavernes : sur le flanc Ouest du Mont Granier (grannos “soleil”) en Chartreuse/ Savoie, on à retrouvé un cimetière d’ours (plusieurs milliers), à la Balme à Collomb près d’Entremont-le-Vieux : des os de 20.000 ans sont incrustés par strates dans une gangue d’argile glacée : les ours auraient hiberné là pendant plus de 20.000 ans. Après dix ans de recherches, le site vient de fermer, mais un Musée va être crée à Entremont-le-Vieux. (lettre celtique Combutis n°33, printemps 2000)…

7 Hiérophanie : “qui rend visible le sacré”…

8 Chasses sauvages, souvenir du grand chambardement qui déplaça l’axe polaire ?

9 Arcadie : l’archaïque Arcadie-Mère, celle du Septième Arc… Au Septentrion !

10 Ourse : Dans le ciel, on trouve facilement la Polaire en prolongeant de 5 fois le dernier espace interstellaire (le bord droit de la “casserole”). Les noms de constellation correspondantes sont : Canis venatici, Aries, Aquila, Arcturus le gardien de l'Ours (a du bouvier). L’étoile Arcturus du bouvier qui en grec est arktos, “qui veille sur l’ours” a du être une ancienne étoile polaire (Cf. § Précession in art. Astrologie* nordique, et Déluges*).
Màj 3 sept. 04 proposée le 22-8 par fdes1@ : « animal emblématique des grandes forêts du nord de l’Europe, mais aussi le symbole de la constellation de la Petite Ourse, dont l’une des étoiles ˆ Polaris ˆ occupe actuellement la position de l’étoile polaire autour de laquelle tourne tout le firmament. L’étoile polaire et sa constellation de l’ours sont l’axe du monde, sa colonne vertébrale, et l’arbre du monde, Yggdrasill/ Irminsul*, s’étend vers elle. A son tour, l’ours est emblématique de l’Ultima Thulé, l’extrême Thulé septentrionale et la patrie des Hyperboréens* chantés par le poète grec Pindare. » Adrian Salbuchi, Richard Wagner : el Profeta de la Edad de Hierro, 1998.

11 Corbeilles : les cistes contenant les objets du culte.

12 Lutte : cette idée de lutte, de concurrence, de polémique incessante est typiquement biblique (en hébreu pilpoul) et, surtout, antithétique du concept tri fonctionnel ou de la subsidiarité !

13 Artémis : un de mes amis, britannique et facétieux (hérédité sans doute), ne dit jamais Artémis mais Miss Artio… sans que ce soit contradictoire avec Miss ou Maid (cf. Vestale*).

14 Coupigny : «Je recherche des éléments sur le culte de Veiovis qui serait selon Ovide (Fastes III) un Jupiter jeune représenté avec la chèvre Amalthée. Salutations distinguées, au plaisir de vous lire. »

15 Ah ces Gaulois, quels voyageurs !…

16 Il reste actuellement un demi Aïnou, mais cela n’émeut guère les Ecco-(non)-Logico qui préfèrent les Gnous ou les Dodos plutôt que de conserver des témoins génétiques du temps de la Grande Dispersion. Ces braves gens devraient lire les très belles et émouvantes pages de Jean Raspail sur la mort du vieux chef Aïnou dans Pêcheur de lune! Mais, pour ce qui est de l’émotion, cette image est surpassée par le remarquable film Himalaya, enfance d’un chef… Tout n’est donc pas perdu !

17 Uiracocha : à rapprocher du norois Witr Goth, “le goth blanc” ou “le Dieu blanc”…

18 Nonnettes frustrées : ou bien le souvenir de quelque fruste frère convert… (je vous jure que je ne l’ai pas fait exprès!) : d’où toutes ces histoires d’hommes sauvages (cf. Figures, in art. Blasons*).

19 Blaise : on aura reconnu, dans ce saint difforme (campé) et contrefait qui porte un masque* d’ours, vit dans une caverne, et danse d’un pied sur l’autre, notre Martin ! Je pense qu’il est à l’origine du Quasimodo sonneur de cloches dans le Notre-Dame de Victor Hugo ! L’ours y figure d’ailleurs sur le parvis, vedette de la fête populaire, ainsi qu’à la fête des tire-laine de la Cour des Miracles, au Pont Neuf. Un hypothétique “Saint” Blaise aurait été décapité en compagnie de deux enfants : comment ne pas penser ici à la colonisation de notre vieux mythème du Vieux Soleil finissant l’année et des Dioscures “les Fils divins” et, bien sûr, à tous les mythes de céphalophores, Mimir, Tagès, Oli et… jusqu’à Jean le Baptiste qui eut dans l’Église* grande descendance légendaire pour effacer nos racines païennes !

20 Pan : cf. Pandora que Vulcain/ Héphaïstos forma du limon de la terre. Limon : latin limus, limon, bourbe –> limes “limite, frontière” ; cf. aussi Pandéra “la nuit claire ou pleine lune”.

21 Coq : à travers son nom anglais et la girouette, on voit que le coq comme terme générique d’oiseau mâle (= pénis, cf. art. Sexualité*), danseur* et chanteur (le cri “pan!”), n’est pas loin !…

22 Argus est aussi le nom des chiens d’Ulysse et celui de l’artisan qui construisit l’Argos.

23 Skanda : on retrouve ici la racine consonantique SKD, comme dans Euskadi (Basque) et Skanden (Scandinavie)…

24 Rire à contretemps que Salomon Reinach aurait sans doute nommé “le rire rituel” !…

25 Picenum : nommé Marche, après l’arrivée des Francs (…Mark’s –> Mars).

26 Nourrissait : la mythologie nous dit aussi que c’était le Ficus ruminalis, ou la Louve du Capitole que nous la considérerons plutôt comme une druidesse initiatrice* appartenant à l’Ordre du Loup…

27 Chinois : le “parti pris” européen qui a cerné nos études de mythologie comparée se justifie par le fait que l’Arbre de Mai ne se trouve qu’en Europe ! Cela ne nous empêche cependant pas de signaler les parentés mythologiques du domaine eurasiatique où la “grande errance” s’était propagée…

28 Piérides : Leur nom est probablement à rapprocher de Pira, le poirier mythique découvert par les premiers explorateur de la grande île du Grand Marais (cf. art. Atlantide*)…
   Aaron ben Chaïm, rabbin de Fez au XVIème siècle, évoque ces “Péritos qui ont la tête et les pattes du cerf et le reste du corps d’un oiseau dans son Bestiaire Fantastique “dont les sources brûlèrent en 640 lors de l’incendie de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie par Omar”. Ce Bestiaire, conservé à la bibliothèque de l’université de Munich, fut malheureusement “perdu” à la fin de la guerre (Ronecker). On aura reconnu là un prêtre du culte de Cernunnos* Ailé (cf. art. Elfes* et Grue #3).

29 Jacasser : penser au latin jocus “badinage, ébat”. Rakassa, la fée néfaste, est devenue une sorcière* (post †) chez les Nordiques…

30 Agaçant ageasson : vous connaissez sans doute ce chant folklorique vendéen La Pibole : “Au printemps, la mère ageasse (bis), Mit au monde un ageasson, la Pïbole…, Mit au monde un ageasson, Pibolon !”

31 « Minos, roi de Crête était, d’après Apollodore, d’origine occidentale, fils d’Europe et de Jupiter. Europe était elle-même fille d’Agénor roi de Phénicie (Phéressie/ Frise)n et de Téléphassa. Agénor avait pour père Poséidon et pour mère Lubié. On sait que Poséidon était le dieu de l’Océan qui était son empire. Minos, premier roi de Crête, est donc l’arrière petit-fils de Poséidon. » M. Moreau.

32 Affres : la Gorgone est l’indicible, c’est-à-dire celle qu’on ne peut ni voir, ni sentir, ni même penser : la Mort en un mot !

33 Ce bélier de mer/ Narval à laissé de nombreuses traces dans nos mythologies et nos folklores marins. Nous avons aussi traité ces aspects dans les art. Licorne* et Naglfar*.

34 Peau de phoque : qui saura recoudre ensemble ces éléments d’un vieux rite : nébride en peau de faon, toison d’or, ceinture en peau de phoque et Ordre de la Jarretière : le dieu Tyr, peut-être ?
  En restant plus béotien, on pourra remarquer qu’une ceinture de force souple et chaude protège le dos de ces “tours de rein” et des “coups de froid” générateurs de coliques. Quant au reste, c’est certainement une adjonction post évangélique où se mêlent diverses confusions sémantiques…

35 Loups soraniens : Mannhart “compare ces rites* aux cérémonies qu’accomplissait la Confraternité des Loups Verts de Jumièges, en Normandie” (Frazer).

36 Brichemer : du germ. brechen “rompre, briser, casser”, Brichemard, Breche-mahrt –> raz de marée ?

37 Accouchements : qui surviennent généralement la nuit !

38 Borée : ces chasseurs qui commençaient à cultiver les alentours de leurs németons fraîchement essartés et labourés par le groin/ charrue des sangliers, allaient devenir des boers en Pays Bas (et, par suite, en Afrique du Sud) et des Bauern en Germanie de l’intérieur…

39 Var ou Vri en sanscrit, “couvrir, protéger, cacher”. Dans les mots Varuna – et Ouranos – cette racine var désigne le Ciel qui est caché aux sens et qui couvre la Terre (cf. la cosmogonie grecque). Elle se retrouve dans Vara, “choix”, varna “corporation” (devenu ”caste” chez nous) et, en germanique dans Vala “élu” et Wahlhalla la Halle des Bienheureux. Vârâhi désigne la terre sacrée “polaire”, la Terre du Sanglier, le centre “spirituel” primordial des Indo-Européens* avant le Grand Cataclysme (cf. art. Déluge* et Origine* Polaire). Signalons aussi, comme antithèse cette “vérité*”, war  en allemand et Vra la déesse nordique, qui doit souvent rester cachée au plus grand nombre, être occultée en attendant l’initiation*… graduelle.

40 Gullinbursti “soies d’or” : ce mythe présente des ressemblances avec le “miracle de Guingamor, la Chasse au Blanc Porc”, ce qui n’étonnera certes pas un comparatiste…

41 Mar-svin : cf. la racine sua/ sva (cf. étymo in art. Svastika*). L’habitat du sanglier est une bauge, racine qu’on retrouve dans son nom anglais boar, mais lorsqu’il est domestiqué, on dit en Dauphiné une “soue à cochon”, assez souillée en général, et le coin de la “pierre à l’évier”, dont les eaux se vidaient dans la soue, était la… souillarde, lieu ou officiait habituellement la… souillon, cqfd.
  Concernant le “sanglier de mer”, il est probablement avec la baleine Val/ Céta l’origine mythique de cette nourriture inépuisable et divine, voir l’article Narval*.

42 Sva-rojitch “sanglier rouge” ou “bon rouge (ou fauve). Rethra borde la rive gauche de la Saale (cf. art. Salassa/ Thalassa*) sur le Lac Thétys/ Cétus c.à d. la Baltique, à la frontière de la Saxe et de de nos cousins Indo-Européens* de langue slave.

43 Slaves qu’on appelle aussi Goths de l’Est, le terme slaves les caractérisant par cette langue syncrétique qui fut rectifiée par les moines Cyrille et Méthode. Oserions-nous voir un Apollon épiphanien dans ce cheval passant entre les colonnes d’Hercule/ Atlas, Hypsipylon ? Oui, sans hésiter !

44 Truie Blanche : cf. Twrth Trwith in art. Celtes*.

45 Twrch Trwych est un nom pour un fils de roi” : Triaath en Irlande. Tourch en breton d’Armorique signifient “pourceau mâle”. Noms parents : l’anglais trust “fidélité”, et truth “vérité”. Le prénom Tristan signifie donc “le plus fidèle” (Drv. Bojorix) !

46 Lug, Lok, Lucifer, Mercure, Lancelot serait, selon certains, id. à la triple Brigit.

47 Urbaine et chrétienne. La proximité rédactionnelle de ces deux mots nous fait penser à la bénédiction papale “urbi et orbi” : urbis “ville, cercle de la terre”, et orbis “orbe, cercle du Ciel”. Ces cercles bien proches du brittonique kirk, “église” en rond, Cromlech (cf. Stonehenge in art. Astrnomie*)

48 L’autorité spirituelle : il y a probablement là un certain anachronisme à parler ainsi, habitués que nous sommes à “l’autorité de l’Église*” ! Mais, ce texte date de 1936 et nous avons bénéficié depuis des remarquables travaux de Dumézil concernant la Trifonctionnalité (cf.) : il s’agit donc là de la première Fonction* et nous savons que les druides étaient passés auparavant par la seconde !
  Aux Indes, la révolte des Kshatryas a pu se justifier par la dégénérescence des Brahmanes qui ne pratiquaient plus qu’un ritualisme pointilleux (cf. “casta” in art. Magie) sans plus comprendre l’Esprit de la chose (le “sacra” id.). On reverra cela en parlant de Rome (art. Rite*) et des Étrusques…

49 Var : est Bor dans sa variante “nordique” d’où la Borée (angl. boar, ald Eber Å> les Éburons) : «Hyperborée* fut employée seulement par les Grecs à une époque où ils avaient déjà perdu le sens de cette désignation ; il vaudrait donc mieux qualifier la Tradition Primordiale, non pas “d’hyperboréen-ne” mais simplement de “Boréenne”, affirmant par là sans équivoque sa connexion avec la “Borée” ou “terre du Sanglier” (René Guénon) màj. fdes1@hotmail.fr. La suite de son article sur le Sanglier, in Symboles de la Science sacrée, contient une foule de choses intéressantes… car c’était encore le “premier” Guénon !
En polonais, Bor (accent sur le o se prononce "bour") signifie : forêt ,les borowski sont les myrtilles…

50 Syrie : l’actuelle Syrie en est une réplique, fondée par les Phélès/ Phérès, les Héraklites ou Doriens, autour de Tyr dont le nom se prononce Sour comme une souris (cf. Apollon* sminthex)

51 Ce maillet est celui de “l’excellent”, Sucellus et aussi le mael béniguet des Bretons, celui qui donne la “bonne mort” au vieux Pape : “le Pape est mort ! Un nouveau Pape est appelé à régner !…” (complainte estudiantine)

52 Ours germain : « En Chine même, le sanglier est l’emblème des Miao, représentants d’une forme ancienne de la tradition chinoise, et l’ours celui des Hia, membres de la classe guerrière ; le Sanglier est capturé ou expulsé par Yi-l’Archer. » Michel Guillery, Revue Ordos, N° 3.
  On retrouvera comme toujours dans ces légendes, des données astronomiques dégradées…

53 Saint Antoine est très vénéré en Dauphiné. Il préservait du tonnerre, comme Thor bien sûr, ainsi que du feu, des chiens enragés et des… sorciers* ! Il garantissait les animaux des épizooties. Protecteur des chevaux, des mulets et des ânes (cf. infra) il était patron des bouviers à Saint-Egrève et au Fontanil (aux portes nord de Grenoble). Il était invoqué lors des “satires” ou rumeurs publiques, et l’on jurait – ou parjurait : “Que le feu de saint Antoine me brûle”, c’est à dire : que la foudre de Donar/ Thor me brûle si je mens ! Les témoins de ce serment étaient les “pleiges”. Ces ordalies sont à l’origine des des combats rituels de Justice qui allaienty devenir les duels chez les nobles : au début, ils étaient publics et le sont restés partiellement avec les “témoins”, ce qui est tout à fait différent des vendettas aveugles et “héréditairement” obligatoires !

54 « Ces “Mickeys” sont sans culture… sans parler de Blanche Neige, “joli” spectacle certes, mais qui occulte totalement le conte de Grimm et bloque le nécessaire décryptage ! » (courrier).
  Bien sûr il faut en revenir à Grimm, traduit intelligemment et non “adapté” ! En effet, la nouvelle Déesse-Mère (la belle-mère) ne veut pas laisser la place au couple Apollon/ Chasseur labyrinthique et Artémis/ Blanche Neige entourée des Sept Sages, Ases, Rikshi, les Sept marcassins de la Truie Blanche. Elle lutte même avec les armes “honteuses” de la magie* des morts, la pomme empoisonnée, la seidhr de Freyja la vanadise : “pauvre pomme de sagesse, qu’es-tu devenue” ? Le conte s’appelait-il “Blanche-Truie et les sept marcassins”, lesquels cachent une initiation astrologique… Mais, nous avons vu un autre décryptage de ce conte, et des plus intéressant, dû à J-P. Ronecker, in art. ABC, en rapport avec la Kala (art Gioïa*).

55 Turko : Remarquons au passage la parenté de Turko, qu’on retrouve sous la forme Tur-Coi (–> Etrusque) sur une monnaie Celtibère… Ce qui fait que nos patronymes des Alpes “Turc”, ont une ascendance gauloise ou toscane !

56 Cent : centum en latin mais hécate en grec, “Déesse-Mère* de la Vie dans la Mort”, le troisième visage de la “déesse triple”. Avec Hécatepous “les cent pieds” c’est, sauf erreur, les seuls endroits où apparaît ce mot, ce qui induit une parenté Nérée-Hécate par le biais de la Grande Submersion. Sauf mythème caché, cent signifie beaucoup comme, lorsque enfants, nous disions “mille” …

57 Gui : cf. § in art. Arbres* des Dieux…

58 Eo fait évidemment penser à la Rune* Io “” ou Hag-all “tertre suprême”, Io qui est aussi l’anguille des marais atlantes. Peut-être penserez-vous alors aux… Oannès ces mythiques “poissons” civilisateurs de Sumer ? Signalons combien leur nom est proche de ces souverains égyptiens nommés Ouhemnesout ce qui signifie “renouvellement de la mise au monde”… Intéressant, non ? (Briard Jacques, Les Mégalithes, ésotérisme et réalité, Gisserot, 1997.)
Màj du 5 fév. 04 : « Oannès, le premier des hommes-poissons, fut l'inventeur des lettres, des sciences et des arts, le fondateur des lois, des cités et de toute la civilisation (Sumer). Dans La légende d'Adapa (attestée vers 1500 AEC.), Uanna, hellénisé en Oannès par Bérose et surnommé Adapa ("le Sage"), apparaît sous A-lulim, le premier roi antédiluvien, sous l'aspect d'un homme portant un costume en forme de poisson. Il est le premier des apkallu (= AB.GAL en sumérien), c'est-à-dire des 7 sages envoyés par Ea pour civiliser les hommes. Bérose rapporte ce mythe d'Oannès (~4500-4000 AEC.), héros civilisateur qui serait sorti des eaux du golfe Persique pour donner naissance à la culture sumérienne (écriture, sciences, agriculture, urbanisation). » Patrice Guinard: http://cura.free.fr - Note r.t : Un costume (en peau de phoque? cf. art. Narval*) ou un chapeau ("mitre" ?… Mithra).
Màj du 23 avril 04 : Une autre piste est porposée par Felipe Vinci (in Omere nel Baltico) qui remarque la parenté phonique avec « Ioniens ou Iavana (" Iàones ", Iliade. XIII, 685), c’est-à-dire l’un des noms des Grecs dans l’Antiquité. »

59 Baies : appelées quelques fois “noisettes de la connaissance”, noisettes rouges du sorbier ou noisettes de l’art poétique : le mot baies est un terme générique s’appliquant aux fruits des arbustes… et des fraisiers.

60 Dévorateur : remarquer le bélier mort dans un arbre (du Monde) : très diluvial, non ? Mais Athéna/ Mesure – chouette en main – fixe un nouvel Axe ou Clou du Monde par sa lance…

61 Commun : .pour les Indo-Européens et quelques-uns de leurs lointains cousins (et même les Hébreux par le biais d’une de leurs ascendances, les Celtes* éburons : les Ébros…

62 Dragon* : De ce fait, des compléments mythologiques se trouvent dans l’art. séparé Dragons*!

63 Cosmophore : aux Indes, c’est l’éléphant et, en Sibérie, c’est la Tortue…

64 Audumbla ou Audumla la “vache sans corne et riche en lait”. Étymologie : audr “richesse”, fille de Nott “Nuit” et de Naglfari : l’aube (cf. Adret). Elle est équivalente à la Damona celtique (–> Dame, mais aussi Daimon “force créatrice” en grec) mais aussi, en partie, à Hathor l’Égyptienne….

65 Is : “surgir” et, compte tenu de son mari Os-iris dé-membré, on pourrait dire “resurgir”.

66 Qui sait ce que l’aspect funèbre d’Hécate doit à ces hécatombes ?…

67 On sait que les tambours d’Airain (cloches) ont un rapport avec les Danses de la Pluie et que leurs vibrations empêchent aussi la formation du givre destructeur des vergers !

68 Pasiphaé : “Celle qui lui pour tous” (Lune) l’épouse de Minos qui fauta avec le Minotaure…

69 multi-ethniques : c’est un des inconvénients de ces sociétés : elles gardent des morceaux divers de la “lettre” (casta) mais en oublient “l’esprit” (casta) !)

70 Thalos (Salos) : cf. Salacia l'épouse de Neptune, dont le peuple étaient les Salasses*, les Saliens. La racine consonantique Tls – ou Sls – se retrouve dans Thalassa, Tholos et Thulée, ce qui pourrait faire de Thalos une adaptation ethnique d’Atlas, brûlé par le feu du volcan (cf. Déluge*).

71 Le mot grec toros signifie tout simplement “qui saillit” : cela éclaire mieux le mythe de Pasiphaé “celle qui rend tout visible, qui éclaire” c’est à dire Diane, la compagne du “baiseur” : bien sûr il s’agit toujours là de la Hiérogamie* printanière !

72 Ar Om : …avant sa disparition dans une avalanche dans l’Ana Purna…Ò